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mercredi 29 août 2012

La fin de l'Euro où le début d'une ère nouvelle ?

Comme le souligne Jacques Attali nous avons atteint un point de non retour ..... et la lumière qu'on croit percevoir est peut être le bout du tunnel  mais peut-être aussi le phare de la locomotive qui nous fonce dessus !
http://blogs.lexpress.fr/attali/

vendredi 24 août 2012

Il y a urgence !!

Au risque (mineur) de répéter
lettre à adresser aux députés de la REPUBLIQUE

…………………………
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A
Madame, Monsieur le Député

            Lors de la campagne électorale, le président de la République avait pris l’engagement (engagement n°11 de ses 60 propositions) de renégocier le Traité pour la stabilité, la coordination et la gouvernance (TSCG) dans l’Union économique et monétaire, dit Pacte budgétaire, signé par Nicolas Sarkozy et 24 autres dirigeants européens le 2 mars dernier.
Il avait précisé lui-même les trois points clés de cette renégociation : la possibilité pour la Banque centrale européenne de financer directement les États, la mise en place d’euro-obligations pour que les pays de la zone euro puissent emprunter solidairement, et des mesures de relance de la « croissance » en Europe.
Lors du sommet européen réuni à Bruxelles les 28 et 29 juin dernier, aucune de ces conditions n’a pu être réunies : seul un pacte pour la croissance comportant des mesures de libéralisations et de libre échange, l’obédience à de nouveaux règlements élargissant les pouvoirs de la Commission européenne (« 6 pack ») ou renforçant le contrôle des pays de la zone euro en difficulté (« 2 pack »), et le déploiement de 120 milliards d’euros a été adopté en plus du traité. Ce montant dérisoire (inférieur à 1% du PIB européen) est composé pour moitié de fonds structurels déjà votés et programmés, et pour moitié de prêts hypothétiques de la Banque européenne d’investissement pour des grands projets d’investissements privés dont on ne connaît encore rien.
Pourtant, la relance de l’activité économique en Europe est indispensable. Cela ne pourra pas se faire en adoptant le TSCG qui inscrira dans le marbre les politiques d’austérité en interdisant définitivement tout déficit structurel supérieur à 0,5% aux états européens. L’aide aux pays en difficulté, prévue par le Mécanisme Européen de Stabilité (MES), sera en outre conditionnée à l’application de plans d’austérité, de privatisation et de libéralisation, déjà à l’œuvre dans plusieurs pays d’Europe et dont les résultats sont d’ores et déjà désastreux.
Ce traité marque également une nouvelle étape dans la dérive autoritaire de la construction européenne. Ainsi, il prévoit des sanctions automatiques contre les pays contrevenants aux mesures de discipline budgétaire, mettant la politique économique des états européens sous la coupe de la Troika (BCE, FMI, Commission Européenne) au détriment des peuples. Cette logique austéritaire conduit l’Europe à la catastrophe, en alimentant le cercle vicieux de la dépression et en approfondissant encore le gouffre qui sépare les peuples européens de la construction européenne. Au nom du peuple français, vous devez vous opposer à cette ratification.
Déjà en 2005, les Français avaient exprimé par référendum leur rejet de cette construction libérale et autoritaire de l’Union Européenne en rejetant le Traité Constitutionnel Européen (TCE). Depuis, à l’initiative de Nicolas Sarkozy, ce traité a été adopté en catimini par le parlement sans aucun débat public. Il faut rompre avec cette logique politique ! François Hollande a annoncé sa volonté de faire ratifier ce traité par la voix parlementaire dans les plus brefs délais. Nous déplorons cette décision : les enjeux politiques et économiques de ce traité sont considérables et nécessitent un large débat citoyen. Vous pouvez y contribuer en demandant un référendum pour mettre en débat et soumettre au vote des citoyens ce nouveau traité européen.
Dans l’attente de votre réponse, veuillez recevoir, Madame, Monsieur, nos salutations les plus cordiales

Appel à un référendum (Marie-Noëlle LIENEMANN)


Renégocier le TSCG, c'est indispensable pour l'Europe

dimanche 19 août 2012

Wait and see !

Attendons le rapport de la Troïka (BCE, Commission européenne et FMI) qui sera publié mi-septembre pour savoir si la Grèce pourra  supporter pour les deux prochaines années une aggravation de l'austérité de 2,5 milliards € par rapport aux restrictions budgétaires déjà imposées  de 11,5 milliards d'€.
 «Nous devons faire tout notre possible pour rester soudés. Quand les premières difficultés apparaissent, vous ne jetez pas les enfants hors de la maison. Je vais attendre et voir ce que dit la troïka», a conclu M. Kauder.

 http://www.20minutes.fr/ledirect/987545/marge-manoeuvre-grece-estime-responsable-parti-merkel

vendredi 10 août 2012

Jeudi 9 août 2012:Feu vert du Conseil constitutionnel !

http://www.lemonde.fr/journalelectronique/donnees/protege/20120811/html/870088.html

"La décision du Conseil Constitutionnel est abracadabrante! Des commissaires non élus vont décider du budget de la France! Fin de la démocratie  " Tweet de Nicolas Dupont Aignan

samedi 4 août 2012

Historique: le réarmement de la banque centrale nationale de la Grèce

Commentaire de BA dans Blog gaulliste libre du 4 août 2012 10:51

"Le jeudi 2 août 2012, dans la zone euro, l’information la plus importante de l’année 2012 a été cachée par les télévisions, par les radios, et par presque tous les grands titres de la presse papier :

En zone euro, il y a eu le réarmement d’une banque centrale nationale, en violation de tous les traités européens.

Qu’est-ce que le réarmement d’une banque centrale nationale ?

C’est quand une banque centrale nationale prête de l’argent à un Trésor public national.

TOUS LES TRAITES EUROPÉENS INTERDISENT QU’UNE BANQUE CENTRALE NATIONALE PRÊTE DE L’ARGENT A UN TRÉSOR PUBLIC NATIONAL :

« Conformément à l'article 123 du traité sur le fonctionnement de l'Union européenne, il est interdit à la BCE et aux banques centrales nationales d'accorder des découverts ou tout autre type de crédit aux institutions, organes ou organismes de l'Union, aux administrations centrales, aux autorités régionales ou locales, aux autres autorités publiques, aux autres organismes ou entreprises publics des États membres; l'acquisition directe, auprès d'eux, par la BCE ou les banques centrales nationales, des instruments de leur dette est également interdite. »

OR LA BANQUE CENTRALE DE LA GRECE VIENT DE PRÊTER 6 MILLIARDS D'EUROS AU TRÉSOR PUBLIC GREC :

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2012/08/02/20002-20120802ARTFIG00564-le-plan-grec-pour-echapper-au-defaut-de-paiement-cet-ete.php

Le réarmement de la banque centrale de la Grèce est une information historique.

Le réarmement de la banque centrale de la Grèce montre ce qui nous attend dans les années qui viennent, en Grèce et dans d’autres pays européens :
- L’éclatement de la zone euro.
- Le retour aux monnaies nationales.
- Le réarmement des banques centrales nationales.
- En Grèce et dans d’autres pays européens, une banque centrale nationale prêtera de l’argent à un Trésor public national.
"

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